Amoureuse d’un pinceau.
Quel monde merveilleux que la peinture chinoise !
Lors de mes lointaines études à l’université, je suivais un cours auprès d’un prof chinois qui nous apprenait les bases de cet art, que dis-je, de cet Art. Oui avec une majuscule c’est mieux. Depuis je m’y remets un peu de temps en temps, car je n’ai jamais cessé d’aimer profondément cette » pratique « . Contempler les oeuvres de ces artistes est toujours une source d’étonnement ; on peut y voir à chaque fois quelque chose de différent et je pourrais d’ailleurs en parler pendant des pages et des heures, au choix, mais je ne le ferai point, ou alors une prochaine fois à la demande 😉
De temps en temps je chausse mon pinceau et je m’entraîne un peu. En dépit des difficultés techniques que je rencontre (et que je ne dois pas laisser paraître), cette pratique représente beaucoup pour moi et se situe au carrefour des routes de mon petit univers.
Les deux essais suivants présentent une composition hasardeuse !! – mille excuses, mais c’est de l’entrainement!
J’ai essayé de peindre des poissons de différentes manières :
En plus d’avoir l’air débiles ils ont des morphologies improbables et il leur manque des nageoires…
Pour conclure cet article, voici un poème dont je n’ai strictement aucune idée quant à sa traduction : Zoé c’est là que tu interviens :)) La semaine prochaine je le recommencerai en prenant soin de ne pas refaire ces affreuses erreurs de débutante. Bouh ! Impardonnable !
Publié: 18:50